====== Jean jean Brenus vu de l'intérieur by Lise et Alice ====== //A écrire par Lise// : Lise commence la chronique en parlant de ses problèmes psychologique de schizophrénie qui l'ont mené chez Nancy Cologue, thérapeute reconnue dans le milieu. Elle dit que qu'elle était venue pour un banal problème de dualité interne : miss lise, Marie Tesla, elle ne savait plus très bien comment se présenter à la réception. Mais elle a vite fait fit de ce léger problème : ses instincts journalistiques ont pris le dessus quand elle entend au loin un nom qui capture son attention : Jean Brenas. ====scénario de la chronique==== Alison : Notre mission : vous dévoiler qui se cache sous le masque et sous le bouclier de Jean Jean Brénus. Qu'elles sont ces petites faiblesses, ces petits trucs qui nous rappelle que ce n’est qu’un homme. Lise : pour ma part je n’étais pas très à l’aise avec cette mission. Je n’ai pas encore réglé tous mes problèmes des dédoublements de personnalité, alors aller comprendre la personnalité d’un autre… Ca me semblait impossible. Il me fallait d’abord régler mon problème de fantômes qui me hantent car Non je ne suis pas Adolph Hitler, un défesseur du port d’arme ou encore Marie Tesla. Alison : Abrège Lise, on est pas là pour faire ta psychana-lise. Lise : Et vous êtes bien moins compétents que ma psychothérapeute Nancy Cologue. Si je vous parle d’elle, c’est que la semaine dernière, en allant la voir pour tenter de me soigner (une idée d’Alisson), j'ai surpris un certain Mr Breuneux, qui avait l'air d'errer dans le cabinet de Nancy, "incognito". Faut dire il était pas très discret. N.C. : M. Breneux ? M. Breneux ? M. Breneux est-il arrivé ? B : Oui Oui OUI Je suis là ! Pas la peine de répéter Breneux à tue tête ! C’est bon j’ai entendu. N.C. : Bien, entrez, je vous prie. Je vous sens bien tendu M. Breneux, euh Brenus excusez moi. Si votre nom de code ne vous plaît pas, nous pouvons en parler... ou convenir d'autre chose. C'est vous qui souhaitiez garder l'anonymat. Peut être pouvez-vous commencer par me parler un peu plus de cela. Qu'est ce qui vous trouble dans ce deuxième nom ? Etes-vous si effrayé de vous perdre en chemin que vous ne supportez pas l'idée d'un nom d'emprunt ? Mais peut être est ce ce nouveau nom en lui-même qui vous problème ? Qu'évoque-t-il pour vous ? Pourquoi avez-vous décidé de choisir celui-ci ? B : : Mais enfin vous êtes bête ou vous le faites exprès. Breneux c’est le nom de mon grand père. Il a passé 40 ans de sa vie à le porter fièrement avant de réaliser qu'en politique on est suffisamment trainé dans la boue. Ce serait une tautologie totale que de porter un tel nom. Je veux quand même lui rendre hommage en choisissant ce blase. Bref appelez moi Mr Breneux mais n’en abusez pas. N.C. : D'accord je n'en abouze pas. Il n'y ca...ca vous assumer pleinement, arrêter les M. Breneux et dccepter votre nom tel qu'il est M. Brenus B : Je ne comprends pas ce que vous voulez dire N.C. : je ne comprends pas que vous ne compreniez pas. Bon,pour recommencer sur de bonnes bases, que diriez-vous de vous servir un verre ? Que prenez-vous, de l'eau ? Vous pouvez aussi vous laissez tenter par un rhum B : Oui un rom pourquoi pas, il en faut toujours un, et quand yen a un ça va, c’est quand il y en a plusieurs que ça fait des problèmes N.C. : je crois que je vais plutôt vous servir un brisky car peut être que le rhum est le reflet de quelque chose en vous, qu'il est difficile d'assumer et que vous dissimulez en construisant cette carapace, ce bouclier ? B : Mais non mais ça mademoiselle c’est le jeu politique, je me dois de suivre les règles élémentaires de communication électorale. Si vous saviez toutes les séances photos que j’ai dues faire, de face, de profil. J’en ai mis du temps a trouver mon sourire copé. En plus, dans la vrai vie, je souris pas énormément. Ca a été dur, très dur. ET bien vous savez quoi ? Même avec ça, les clermontois que je croise dans la rue : il y en a plein qui ne me reconnaissent pas. Voire pire, qui ne me connaissent pas. Bouhouhou ! Pourtant je comprends pas, j’ai tout fait, j’ai même une rolex N.C. : C'est un début... mais je pensais à quelque chose d'un peu moins... comment dire... superficiel. Un sentiment plus enfoui que votre montre ou vos affiches. B : Vous avez raison, il y a pas que les affiche à mon effigie. Ca devient même assez has been. Maintenant il faut que je me trouve une nouvelle femme, belle grande élégante, intelligente, voire avec une guitare. J’ai pensé à sandrine Bonnaire qui est né à Clermont mais elle est un peu vieille, non ? Que pensez vous docteur de Morgane debeaud de couconne ? N.C. : Hum, hum, poussez votre réflexion un peu plus loin, M. Brenus. Pensez-ous réellement qu'une femme puisse combler vos peurs profondes. Ne serait-il pas envisageable que vous vous sentiez fragilisé dans votre positionnement politique ? B : Oui c’est vrai. Je suis épuisé. Chaque jour je me force à trouver des événement pour faire parler de moi : j’anime des réunions de quartier, j’organise des inaugurations en faisant venir tous les amis médiatiques de l’Union des Maires Porteurs. Mais bon Mortefeuille m’a dit qu’il voulait plus venir plus d’une fois par semaine. J’essaie de trouver des sujets, mais j’y arrive pâs. A défaut je parle des rythmes scolaires. C’est le titre de la plus part de mes billets sur mon site internet. Et quand j’ai des idées sur la sécurité, les roms, les sans-papiers et bein….. snif snif…. Valls les sorts avant moi. N.C. : Je crois que tout cela dénote chez vous une grande terreur, peut être même la pulsion originelle. Vous voyez où je veux en venir ? Ne se peut-il pas que vous souffriez d'un complexe d’Œdipe ? Que votre envie d'être maire existe seulement par le besoin de remplacement de quelqu'un d'autre, arborant fièrement... la saucisse... B : Non mais vous me prenez pour une pédale. N.C. : Nous avons fait de grands progrès aujourd'hui, M. Brenus. N'hésitez pas à revenir me voir avant le mois de mai. Sachez que vous serez toujours le bienvenu. Je sais rester discrète. Suivant!!! Bonjour, bonjour, bonjour... (alice : 2') ====phrases cultes de l'UMP et autres==== ====à faire==== trame sonore : arrière plan musical qui donne envie de pisser + sons divers